Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 10:33

la-planete-des-singes.jpg

Qu’on les aime ou pas, les films «La planète des singes» ouvrent une réflexion sur la notion de pouvoir, et plus particulièrement celle de leadership. Ce n’est pas pour rien que le protagoniste principal s’appelle César.

Dans le premier film de la planète des singes, avec Charlton Eston, le chef des primates est un singe puissant qui effraye ses subordonnés et n’hésite pas à les maltraiter. Son leadership est proche de la dictature militaire. Le leader est présenté comme impitoyable et violent. Sa principale qualité : il fait peur.

Le dernier film, «La planète des singe, les origines» se démarque par une vision du leadership tout à fait différente au travers de César, son héros bipède.

LEÇON N°1 LA DETERMINATION

C’est lorsqu’il est enfermé dans une prison avec ses congénères que César trouve sa motivation. Se libérer mais aussi libérer tous les autres singes du joug humain. Une fois son objectif trouvé, il s’y tient et n’en change pas, au risque de tout perdre. Les obstacles sont nombreux. Le désintérêt, la bêtise et la méchanceté des singes les plus rustres. Les moqueries et les passages à tabac. Mais aussi l’attitude défaitiste et résignée des singes les plus évolués (l’orang outan) qui ne voient pas d’issue possible.

LEÇON N°2 L’EMPATHIE

Cette capacité à comprendre les autres de l’intérieur va permettre à César de débloquer les pires situations. Ainsi il est le seul à comprendre le puissant gorille et de s’en faire un allié indéfectible.

Son empathie va lui permettre de communiquer efficacement et de motiver ses confrères bipèdes à le suivre dans ses projets.

LEÇON N°3 UN ESPRIT REBELLE

César n’hésite pas à remettre en question l’ordre établit quitte à choquer et à déplaire. Il avance, malgré les conseils du vieil orang outan qui lui glisse judicieusement «attention, les humains n’aiment pas les singes intelligents». Les leaders nouvelle génération n’hésitent pas à briser les tabous. Ainsi Steve Jobs a su imposer l’iTunes Music Store, luttant contre les privilèges des majors.

LEÇON N°4 UNE VISION PARTAGÉE

Dans sa prison César est porté par une vision. Comment la partager ? Pas de slide powerpoint, pas de mail, pas de rétroprojecteur… Alors César embarque ses troupes et les fait monter tout en haut d’une tour GSM. De là, il leur montre la ville et au delà la forêt, leur but ultime. Sa vision tient en une image.

LEÇON N°5 RENFORCER LA COHÉSION D’ÉQUIPE

Caesar s’attache à conquérir la confiance de ses congénères. Il veut renforcer les liens entre eux. Il partage un paquet de biscuits. Mais il ne donne pas lui même les gâteaux. Il trône au milieu de la pièce pendant qu’il fait faire la distribution par leur ancien chef. Ces gâteaux sont un espèce de team building. Caesar l’explique lui-même à l’orang outan qui lui demande la signification de son acte « un singe seul est faible, ensemble, c’est une force». Basique ? Peut être mais cela va à l’encontre de bon nombre de politiques de management qui visent à créer le maximum de concurrence en interne, entre les services et même entre les salariés.

De façon un peu schématique et caricaturale, César symbolise le leader d’aujourd’hui qui n’a rien à voir avec celui d’hier, qui s’appuyait sur le pouvoir hiérarchique brut. Les patrons habitués aux hurlements et aux gesticulations en tous genre peuvent garder leurs postillons. Est-ce l’annonce d’une nouvelle génération de leader qui sauraient imposer le respect sans violence, et motiver les collaborateurs par des moyens beaucoup plus puissants que la peur ? Espérons le. En attendant, vous pourriez me passer une banane s’il vous plait ?

Marie-Dominique Bonardi
Directrice, InVISIBLE Image Communication de l'Innovation
France

 

Partager cet article
Repost0
14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 10:28
shutterstock 80415253Le KM est un cercle collectif vertueux qui fait émerger la valeur de l’information et des connaissances.
Sophie Lafourcade
Consultante en Knowledge Management et coaching, Sophie Lafourcade a développé son parcours professionnel notamment dans l’industrie pharmaceutique. Elle nous livre sa vision du KM qui a pendant longtemps été un mot « tabou » en France mais qui est en train de gagner ses lettres de noblesse maintenant que son ROI est plus visible.
 
Le Knowledge Management est une alchimie
Le Knowledge Management (KM) est un concept large qui peut être considéré comme une compétence collective de mise en action de savoirs, de savoir-faire, de savoir-être; une « alchimie » qui provient des interactions entre des connaissances (qu’elles soient individuelles ou présentes au niveau de l’organisation dans son ensemble), des pratiques et des attitudes (Durand, 2000).
Quels sont ses bénéfices ?
Le déploiement d’une culture de KM ne se déclare pas, il se vit collectivement parfois pas à pas, expérience après expérience. C’est un processus de catalyse active dont les bénéfices se situent à plusieurs niveaux :
  • à l’échelle de l’organisation : une organisation apprenante, agile, créative, réactive en situation de crise, innovante, pionnière dans le lancement de nouveaux produits ou services,
  • à l’échelle individuelle : valorisation de compétences spécifiques, reconnaissance collective, amélioration des « postes de travail »,
  • à l’échelle collective : création de relations de qualité, de reconnaissance des complémentarités et découvertes de compétences jamais exprimées ; stimulation de l’intelligence collective à des fins partagées.
Le KM est un véritable cercle collectif vertueux : expérimenter, apprendre, transmettre
Au delà de la dimension philosophique ou conceptuelle, souvent décriée, il s’agit d’un engagement dans des démarches précises, concrètes et collectives ayant pour objet l’émergence de la valeur des informations et des connaissances disponibles dans la communauté concernée. Ces existants sont plus ou moins bien connus, organisés, accessibles, reconnus… sans qu’il s’agisse pour autant de déployer les mêmes actions de KM partout et pour tout bien entendu.
Le Social KM pourrait être un pléonasme et pourtant…
Le Social KM pourrait être un pléonasme et pourtant, là où nous avons longtemps fait activement et consciemment du KM sans le dire, sans en parler avant de pouvoir montrer les résultats, les réseaux sociaux et le social networking nous plongent aujourd’hui au cœur d’un autre mouvement.
Le Social sharing est une réalité, parfois éphémère, difficile à appréhender, à capter, probablement impossible à organiser dans le sens où nous pouvions ou devions le faire jusqu’ici. Les technologies du Social sharing créent de nouveaux degrés de liberté dans les échanges et les partages donnant lieu à l’émergence de nouveaux contenus (pour ne les appeler ni information, ni connaissance). Il nous faut les considérer tant du côté des avantages que des inconvénients qu’ils génèrent vis-à-vis des intentions et des cibles du KM et donc pour les organisations professionnelles. Il nous faut aussi les considérer vis-à-vis des changements de comportements et de compétences dont l’existence est en œuvre en dehors de l’entreprise.

Evolution de l’autonomie des clients
Les bénéfices à en attendre se définissent stratégiquement et se déclinent ensuite sur un plan opérationnel en projets, sous-projets… Les bénéfices portent sur :
  • la qualité et l’innovation des produits et des services (Aller vers plus de fluidité pour favoriser l’innovation tout en développant des interactions de qualité)
  • la gestion de la visibilité et de l’image (e-réputation, positionnement concurrentiel),
  • la performance (acquisition de compétences, démultiplication de l’efficacité collective)
Les bénéfices portent aussi sur les métiers en permettant de diminuer ou supprimer les tâches redondantes ou sans valeur ajoutée, libérer du temps pour la valeur ajoutée pouvant être apportée par chacun, faciliter certains processus, améliorer certaines méthodes, « modéliser » certains succès ou échecs… Et puis les bénéfices sont aussi de pouvoir capter des signaux forts ou des signaux faibles dans les contenus disponibles en interne et ou en externe (BDD, CRM, intranet, internet et réseaux sociaux, connaissances des experts, connaissances quotidiennement acquises des acteurs de terrain au contact direct des clients ou usagers…), faire circuler et commenter les raisons, permettre l’explicitation et la convergence des regards des différents experts d’une organisation, les mettre en perspective avec la stratégie de l’entreprise autant de gages de succès, de créativité, d’agilité.
Le jargon et les approches théoriques a priori peuvent devenir des freins
Les facteurs tels que le jargon et les approches méthodologiques et théoriques, quand ils sont posés comme des a priori, deviennent des freins. A l’inverse ils sont des accélérateurs dès qu’ils sous-tendent et supportent les étapes de la démarche. Le sentiment de perte de temps, d’alourdissement des tâches quotidiennes ou encore l’absence d’identification des enjeux demeurent souvent des freins. Parfois, alors même que la communication sur la démarche de KM est excellente, les changements impliqués sont perçus comme étant trop laborieux, et le projet est alors voué à plus ou moins court terme à l’échec. Les changements induits peuvent aussi être perçus comme des outils de rationalisation des organisations comportant des risques de perte d’emploi.
L’importance de valoriser l’expertise métier et la spécificité individuelle
Il est fondamental de bien définir à quelles fins partagées nous faisons du KM ou du social KM, (innovation, gestion de crise, aide à la décision et à l’action, image et visibilité,…). La définition d’un schéma directeur à la fois global et précis en lien avec la vision, la culture et la stratégie de l’organisation, de même que la communication sur ce schéma, favorise la compréhension, l’adhésion et l’engagement même si ces facteurs ne sont pas suffisants. Chacun doit pouvoir clairement identifier les avantages qu’il a ou aura assez vite (!) à contribuer à ce type de projet. Parmi les leviers disponibles au sein d’une communauté, il existe un double moteur : c’est celui de la valorisation collective de l’expertise métier et de la spécificité voire de la subjectivité individuelle. Ces facteurs favorisent un esprit de co-construction, de co-délégation. L’intelligence collective et l’efficacité de la communauté s’en trouvent accélérées. Il ne s’agit pas de processus systématiques, applicables partout pour tout mais plutôt de développer les conditions et les moyens humains, méthodologiques, technologiques adaptés aux cibles définies. Amorcer la démarche concrètement là où en est l’organisation concernée, sans a priori, permet de satisfaire des attentes fondamentales qui vont nourrir le reste du processus. La démarche est alors lancée. La participation sur la base du volontariat est aussi l’un des éléments favorisant la responsabilisation et l’engagement.
Le Knowledge Manager est un catalyseur qui accompagne la valeur de ce qui est en train de se faire.
La mission du knowledge manager est d’observer, écouter et créer les conditions de l’expression d’idées, de besoins en interrogeant les salariés sur ce qui est quotidiennement facile ou difficile à faire seul ou ensemble. Le knowledge manager doit considérer que toute action ou expérience au quotidien peut être prétexte à amorcer une démarche de KM. Il doit se mettre dans une posture « méta » permettant de catalyser et d’accompagner la valeur de ce qui est en train de se faire. Son rôle est celui d’un facilitateur qui favorise le rapprochement des apports quotidiens de la démarche avec les objectifs stratégiques.
Mais surtout il doit garder en tête que tout ne mérite pas d’être capitalisé, tout ne mérite pas d’être capitalisé tout le temps, tout ne mérite pas d’être surveillé, tout ne mérite pas d’être surveillé tout le temps par tous, tout ne mérite pas d’être partagé, tout ne mérite pas d’être partagé tout le temps etc… La nécessité d’être dans cette dynamique est une évidence. Elle est aussi une difficulté ! Il s’agit alors de pouvoir mettre en place les processus de régulation qui s’imposent et qui passent par les acteurs du KM. Veillons sur le KM et faisons du méta-KM pour un KM dynamique, utile, fertile!
 
Sophie Lafourcade, diplômée de l’Université Paris 8, DESS en Sciences de l’Information, est spécialiste du management de l’information et de la connaissance. Elle a accompagné le changement lié à l’introduction de nouvelles technologies (GED, CRM, Intranet, Social networking) et aux transformations des organisations. Après une première expérience dans un contexte de R&D chez Servier, elle poursuit sa trajectoire chez Parke-Davis Warner-Lambert puis chez Pfizer pour y promouvoir une démarche de knowledge management et développer des méthodologies de veille. Elle a particulièrement travaillé à la mise en oeuvre de solutions innovantes en partenariat avec les experts dans des environnements complexes. Sa formation et ses vingt ans d’expérience dans le management d’équipes et de projets transversaux lui permettent d’intervenir dans le domaine de la mobilisation de l’intelligence collective à des fins d’innovation, d’aide à la prise de décision, de développement des compétences.
Son profil LinkedIn
Partager cet article
Repost0
14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 09:52

Accompagner le changement, c’est capitaliser sur son expérience à l’instant présent; le changement, c’est la mobilité, c’est la vie, parfois la survie de l’entreprise… Définition d’un acte vital :

Aucune situation, aucun état n’est figé et nous en avons tous l’expérience…

… nous avons changé d’école, d’équipe de foot, de statut, de métier, nous avons vécu le mariage, le divorce ou la perte d’une personne chère. Nous avons tous conscience que ces changements ont bien eu lieu à un moment donné de notre vie, mais en revanche, nous ne savons ni quand ni comment nous avons réussi les adaptations nécessaires qui se sont opérées en nous pour nous permettre de nous ajuster face à toutes ces nouvelles situations.

 

Tous les jours des choses changent dans notre environnement…

… les choses mesurables comme l’érosion d’une falaise et les choses plus difficiles à quantifier ou définir avec précision sur le court terme comme le vieillissement du corps ou l’évolution des mentalités. Pire encore, nous même et nos entreprises avons du accepter l’évolution foudroyante du marché et de la concurrence : en l’espace de quelques trente années, nous sommes passés d’un marché national à un marché européen et à l’heure où je vous parle, nous sommes en plein cœur d’un marché qui se qualifie lui-même de mondial. Les entreprises qui n’avaient pas anticipé ce changement ont été, pour une grande partie d’entre elles, emportées par la vague des disparitions.

Il est bien sûr difficile d’anticiper les changements. Nous ne sommes pas tous devins et nous n’avons pas tous accès aux mêmes informations pour les anticiper. Mais nous pouvons facilement, en revanche, prendre conscience d’un fait qui se vérifie depuis la nuit des temps : tout change, tout le temps.

Dès lors, prendre une attitude figée revient à résister au changement. Mais nous savons bien qui gagnera cette manche, et finalement, le match. Alors plutôt que de résister, faisons comme ces architectes qui, ayant finalement compris que les séismes créent des changements catastrophiques ont décidé de construire des immeubles capables de s’adapter et, en tous cas, de résister le temps que les occupants prennent conscience du danger et décident de quitter les lieux pour s’installer ailleurs.

 

Mais aujourd’hui, s’adapter n’est plus suffisant…

il faut se préparer en permanence pour accueillir le changement et, mieux encore, l’accompagner.

Selon Paul Watzlawick, fondateur de l’école de Palo-Alto, en Californie, il y a deux niveaux de changement :

1. le premier consiste à appuyer sur l’accélérateur ce qui revient à augmenter la vitesse…

2. … et le deuxième, qui consiste à intervenir sur le levier de vitesse de la voiture, ce qui la fera passer à un niveau supérieur de puissance.

Face à une côte à monter, le fait d’augmenter simplement la vitesse risque de mener à l’étouffement du moteur en sous régime, alors que le fait de modifier le régime du moteur permettra d’atteindre le sommet.

 

Einstein disait : « le fou est celui qui croit
qu’en faisant plus de la même chose,
il obtiendra autre chose que plus du même résultat ».

 

Le ‘Manager’ du changement…

… Force est de constater que de nos jours, l’autorité d’un manager se mesure à sa capacité d’influencer des comportements de coopération grâce à ses qualités de souplesse sur les moyens, de directivité sur l’objectif à atteindre et surtout, grâce à l’ampleur de son développement personnel.

C’est la personnalité même du manager qui constitue son meilleur outil de travail. Autrement dit, son efficacité repose avant tout sur sa capacité à utiliser ses propres ressources ce qui revient à dire qu’en fait, il s’agit de développer ses propres capacités en même temps que celles de ses collaborateurs.

C’est ainsi que son rôle revient à les orienter vers la découverte de leurs propres capacités à accepter le changement, qu’il soit au niveau de leurs comportements, de leur mode de fonctionnement ou encore de leur environnement de travail.

Et par-delà toute autre considération, il aura présent à l’esprit que ce ne sont pas tant les réformes qui bloquent une situation mais plutôt les méthodes utilisées pour les mettre en place.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 09:43

N ous avons récemment lu dans un ouvrage anglo-saxon destiné aux Directeurs Financiers :

Instiller dans l’équipe finance un focus sur la satisfaction est difficile. […] Je parlais à un chef de cabine dans un avion où le niveau de service était exceptionnel. Je lui ai demandé : « Peut-on former pour obtenir une telle qualité de service ? ». Elle a répondu : « non, vous devez recruter pour cela »

La chef de cabine semble penser que l’orientation service est une valeur individuelle plus qu’une compétence que l’on peut acquérir. Dans ce schéma de pensée, la meilleure solution pour ceux qui sont nommés à la tête d’équipes jugées défaillantes sur ce point-là, ne serait-elle pas de se séparer de tout le monde et de recruter à nouveau ?
Même si partir d’une feuille blanche semble séduisant, cette thèse radicale nous paraît se confronter à deux difficultés :

  • La première est qu’en tant que manager, nous héritons d’une équipe constituée dont on ne peut pas se séparer comme cela.
  • La deuxième est que nous avons pu observer que tout nouveau collaborateur, même excellent, lancé dans une équipe dont le management est défaillant, devient « mauvais ». Il aligne son comportement sur celui du groupe. On sera revenu à la situation initiale en quelques mois voire quelques semaines.

En voulant renouveler toute l’équipe, ne risque-t-on pas de traiter le symptôme, et non pas la cause profonde qui est souvent – mais pas toujours – la défaillance managériale ?

Nous pensons qu’il est possible de s’orienter « Service client » en gardant la même équipe.

Dans un ordre logique et chronologique idéal, nous recommanderions :

  1. de reconnaître dans les faits la valeur du service client.
    Par exemple :
    • Vérifier que la satisfaction client soit l’un des axes du tableau de bord.
      C’est normalement le cas pour ceux qui ont mis en place un tableau de bord prospectif (Balanced Scorecard). S’il s’agit de clients externes au niveau Entreprise, il peut s’agir de clients internes au niveau Département. C’est pourquoi nous recommandons d’afficher la liste et photos des principaux clients sur le « gap board » (tableau de l’Unité).
    • La mesurer par des enquêtes de satisfaction.
    • Manifester de la reconnaissance dans l’évaluation individuelle
  2. de reconnaître le rôle primordial du management : orienter un service administratif vers la satisfaction client est difficile. Cela demande un certain courage et va prendre du temps. Il faut en être conscient.
  3. de former l’ensemble des collaborateurs à une approche service client. Des formations de ce type existent ! Des personnes qui auraient refusé a priori un rôle dans le contact client se montrent bien plus ouvertes à l’issue.
  4. d’identifier les talents et les envies. Identifier les leviers d’intérêt individuel (« envies ») et pas seulement les compétences techniques. Rien de plus performant qu’un collaborateur qui a envie de faire ! Cela nécessite que le manager soit proche de ses équipes.
    Malgré tout, nous pensons qu’il y a des gens qui ne sont pas faits pour le contact « client ». Est-ce grave ? nous n’en sommes pas persuadés ! Dans tous les services il existe des tâches de fond qui ne nécessitent pas d’interaction avec les services extérieurs. Soyons conscient que forcer un collaborateur à exécuter quelque chose pour lequel il est mal à l’aise peut conduire à des risques psycho-sociaux.
  5. de mettre à chaque occasion le focus sur le critère « satisfaction client » : à chaque point Top 5, Top 30, ou autre réunion de service.

Attacher une attention au service client nous semble le minimum requis pour viser l’excellence opérationnelle. Alors oui, cela nécessite un engagement, de la formation ET… une bonne pratique de recrutement.

 Qu’en pensez-vous ?

 

Article publié par

 AVL Consulting.fr

Partager cet article
Repost0
7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 10:57

shutterstock 34292803

L’étude sur les pénuries de Talents 2012 confirme des tendances. Elle surprend aussi sur bien des points ; on remarque par exemple que, malgré le haut niveau du chômage en Europe, près d’un tiers des employeurs du Vieux Continent déplorent un manque de candidats.

Plusieurs raisons peuvent expliquer l’importance de ce phénomène, parmi lesquelles une forme d’autocensure : ne remplissant pas tous les « pré-requis », des Talents s’abstiennent de postuler. Une attitude qui peut se comprendre puisque seuls 9% des employeurs croiront dans leur potentiel pour surmonter l’insuffisance de leurs qualifications – diplômes et expérience.

La formation, option privilégiée des employeurs confrontés aux pénuries

En effet, plutôt que de s’aventurer vers des contrées moins connues, les entreprises de France, d’Europe comme du monde entier plébiscitent la formation de leurs salariés pour faire face aux pénuries. Parmi les autres parades déployées en Europe, on remarque que :

§  seuls 9% des employeurs élargissent leurs recherches à l’étranger – une proportion plus faible que dans le reste du monde qui explique que la Commission européenne chercheàladévelopper ;

§  la même proportion (9%) s’ouvre à des candidats ne possédant pas les compétences requises mais disposant du potentielpourlesacquérir(« profils modulables ») ;

§  seulement 6% des employeurs établissent des partenariatsavecdesétablissementsdenseignement pour mettre au point des programmes mieux adaptés à leurs besoins.

La pénurie, nouvelle norme de la vie des entreprises ?

Cet heureux élan pour la formation ne peut toutefois occulter la plus grande surprise de l’étude : le nombre d’employeurs négligeant les conséquences des vacances de postes sur leur activité. Dans le monde, 56% des employeurs confrontés aux pénuries pensent que celles-ci n’auront pas, ou peu, de conséquences pour leurs principaux partenaires (clients, actionnaires, salariés), soit une explosion de + 20 points en un an. En Europe, ils sont encore plus nombreux : 61%, dont les 2/3 estiment même que ces difficultés n’auront pas le moindre impact.

Un court-termisme dangereux pour la viabilité des entreprises

Les employeurs se seraient-ils déjà habitués à contourner les complexités de la de gestion des talents ? Quelles que soient leurs motivations, on peut se demander si les partenaires des entreprises continueront à fermer les yeux sur les difficultés de services et de performances liées aux manques de compétences. Surtout, si ce « court-termisme » peut se comprendre à notre époque d’incertitudes économiques, il risque de pénaliser fortement les entreprises à lEredesTalents – qui voit le capital humain devenir le premiermoteurdelacroissance.

Dans ce nouvel écosystème, où le potentiel de croissance des nouvelles technologies paraîtimmense mais où le « skills mismatch » s’aggrave alors que les budgets sont contraints, la rapiditédestransformations pourrait pénaliser nombre d’entreprises qui n’auront pas su anticiper la reprise en mettant en oeuvre des stratégiesderecrutementglobales étroitement intégrées à leur stratégie d’entreprise.

Femmes, jeunes, talents étrangers, « outsiders », seniors : miser sur les Talents inexploités

A plus court terme, face aux pénuries, il semble indispensable de miser sur le potentiel des candidats et de puiser dans les viviers de talents inexploités (femmes, jeunes, seniors, talents étrangers, “outsiders”…). Dans ce but, des stratégies très localisées et innovantes paraissent nécessaire.

Sur un horizon plus lointain que les difficultés budgétaires tendent parfois à occulter, n’oublions pas non plus les gisements d’efficacité de la gestiondesemploisetdescompétences représentés par le websocial et, plus largement, le numérique – notamment dans la formation initiale ou continue.

  

L’infographie de ce mercredi est une « Talent Heat Map », réalisée par ManpowerGroup. Elle présente les points les plus « chauds » des pénuries de Talents dans le monde.

logo manpower

Partager cet article
Repost0
7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 10:35

shutterstock_62287657.jpg

 

Si les DRH sont de plus en plus confiants quant à la santé économique de leur entreprise, les incertitudes économiques les incitent à beaucoup de prudence. C’est ce qui ressort de la 3ème édition du baromètre « Défis RH », menée auprès des membres de l’Association nationale des DRH (ANDRH). Cette enquête montre aussi que l’égalité hommes-femmes et la pénibilité sont au coeur des nouveaux challenges auxquels font face les DRH, qui semblent avoir progressé dans leur approche de l’emploi des seniors semblent porter leurs fruits.

L’atmosphère se détend par rapport à 2011…

Le contexte se détend : la perception de tensions économiques perd 7 points par rapport à l’année dernière et les trois quart des DRH sont confiants dans la santé économique de leur entreprise. On note ainsi que la proportion de DRH ayant eu à conduire des plans de sauvegarde de l’emploi (PSE, généralement préalables à des licenciements économiques) a largement baissé : de 16 à 5%.

…mais la morosité des perspectives incite à la prudence : réorganisations à venir ?

Si cette détente se retrouve dans l’amélioration du climat interne (+4 points par rapport à 2011), les incertitudes économiques pourraient inverser rapidement la tendance : le nombre de DRH prévoyant une dégradation de cet atmosphère augmente de 6 points par rapport à l’année dernière.

Ainsi, plus de la moitié des DRH s’attendent à une réorganisation en 2012 et le nombre de DRH anticipant un conflit social augmente (18%, +4 points). Plus précisément :

§  1/3 pensent qu’ils devront geler les embauches et de moins en moins prévoient de mettre en place un plan de recrutement (27%, - 4 points par rapport à 2011) ;

§  à peine plus d’un quart (28%) prévoient de faire appel au travail temporaire – un chiffre en baisse de 9 points par rapport à l’année dernière, ce qui peut inquiéter quand on sait que la situation de l’intérim est un indicateur avancé de l’évolution de l’emploi en France ;

§  malgré la détente constatée cette année, 9% des DRH pensent devoir mettre en place un PSE (+4 points) à l’avenir, 7% prévoient d’avoir recours au chômage technique ;

§  à noter : parmi les DRH anticipant un conflit social, les 3/4 pensent que les rémunérations en seront la cause.

Des DRH centrés sur leur coeur de métier, mais de plus en plus soucieux d’égalité hommes-femmes et de pénibilité

Si la « rétention des talents » est un moteur de l’innovation RH (avec 48% des réponses, sont l’un des trois motifs qui incitent le plus le DRH à faire évoluer leurs pratiques), les professionnels des ressources humaines restent, dans ce contexte hautement incertain, « focalisés sur leurs missions cardinales » – selon l’expression de l’ANDRH : « dialogue social, gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC), rémunérations et attraction/fidélisation des talents. »

On note toutefois que les chantiers de l’égalité hommes-femmes (+ 5 points) et de la pénibilité (+ 11 points) gagnent de l’importance.

"Quels sont les sujets sur lesquels vous vous mobilisez en priorité ?"

Emploi des seniors : les engagements avancent

Selon l’ANDRH, l’évolution des contraintes légales explique les changements les plus notables. Si les risques psychosociaux et l’emploi des seniors perdent de l’importance, c’est parce que d’importants progrès ont été constatés depuis 2011.

Les seniors sont surtout beaucoup moins victimes des réductions d’effectifs (-14 points). On remarque notamment que plus d’une entreprise sur deux a mis en place des « entretiens de mi-carrière ».

Les grandes entreprises très concernées par la prévention des risques psychosociaux

La prévention des risques psychosociaux par la promotion du bien-être au travail perd elle aussi de l’importance parce que de nombreux plans ont été mis en place : plus de la moitié des entreprises ont mené des actions. Il n’en demeure pas moins que ce chantier concerne encore 1/4 des DRH – et même 1/3 de ceux oeuvrant dans des entreprises de plus de 1000 salariés.

Par ailleurs, il est intéressant de relever que les entreprises soumises à la contrainte légale de négociation sur ce sujet ont généralement choisi de sensibiliser leurs cadres et soutenir leurs collaborateurs en difficulté plutôt que de s’attaquer à une remise à plat des relations et de l’organisation du travail.

logo manpower

Partager cet article
Repost0
7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 09:47

 shutterstock 30634912

 

« Des managers sous tension.  

   

Des « 18-24 ans » et « plus de 55 ans » qui « s’accrochent » à leur emploi.

   

Des salariés fiers mais démotivés par leur travail ; »

   

  

 

Tel est le constat que nous révèle le dernier Baromètre Ipsos/Edenred 2012 publié le 3 avril dernier. Selon cette étude quelques-uns des enjeux majeurs sont de «promouvoir le mieux vivre en entreprise » et de « redonner confiance à titre individuel et collectif ».

Selon David Maxfield, Docteur en Psychologie de Stanford University (USA) et Vice-Président Recherche et Développement de Vital Smarts, ces problématiques d’engagement au travail sont en réalité des problèmes d’influence. Influence sur le sens qu’un salarié accorde à son travail et influence sur la capacité d’impacter et d’aller au-delà de ce qui est normalement attendu de lui dans son rôle.

Donner du Sens

Un salarié doit pouvoir regarder le résultat accompli et se dire qu’il s’agissait de quelque chose qui en valait la peine. Accomplir un résultat devient alors une mission dont il est possible de tirer une réelle fierté, un sentiment d’accomplissement individuel et collectif.

Etre capable d’impacter

Il s’agit là de la capacité d’action dont dispose un salarié, de la possibilité qu’il a dans son travail de faire la différence pour lui, pour son équipe, pour son entreprise, pour les clients.

Le salarié cherche du sens et de la capacité d’action sur les 4 fondamentaux suivants :

  1. Les clients : ce que je fais est utile aux clients et apporte quelque chose à la société en général. J’apporte quelque chose et j’impacte sur quelque chose qui compte.
  2. La mission : les missions qui me sont confiées, les taches que je réalise me donnent du plaisir en tant que tel. J’aime ce que je fais
  3. L’entreprise/l’équipe : J’ai une vie sociale/des amis, j’ai le sentiment d’appartenir à l’entreprise et à une équipe. Si je me dépasse au travail, c’est pour mes collègues, mes amis.
  4. Le développement : Mon travail me permet de devenir celui ou celle que je rêve d’être, de progresser et de me développer. Je me réalise

Pour promouvoir le mieux-vivre en entreprise et redonner confiance il vous faut donc agir sur les 2 axes que nous venons de voir : Le Sens et la Capacité d’Action.

Voici quelques pistes que nous vous invitons à explorer :

  

 Article que cherchent les salaries au travail comment les i

 Publié par Cathia Birac

Partager cet article
Repost0
29 mai 2012 2 29 /05 /mai /2012 11:21

shutterstock 12247243

La communication managériale doit tendre vers un but bien précis …

… mobiliser les ressources de ses collaborateurs pour engendrer de meilleurs résultats et plus de satisfaction

Premier élément palpable de toute communication, le langage (verbal et para verbal) …

… qui donne le ton et fixe les paramètres qui régiront les rapports entre deux personnes. Or, il faut bien le reconnaître, le langage repose souvent sur la loi du talion : œil pour œil, dent pour dent : en mettant l’accent sur l’argumentation, nous exhibons la rationalité de notre point de vue tout en faisant appel à l’esprit logique de notre interlocuteur. Ne soyons donc pas surpris s’il nous répond sur le même registre… en nous développant le plus souvent une magnifique contre-argumentation.

En réalité, il est primordial de choisir un style de communication approprié au message …

… une interrogation, une affirmation, une négation, une injonction, une suggestion, une description, une règle, une hypothèse, une généralisation, un euphémisme, une allégorie, une métaphore. Ce choix aura une influence directe sur la nature de la relation entre deux personnes et surtout, sur les effets produits en retour.

Curieusement, plus une argumentation est indirecte, plus elle gagne en pouvoir d’influence

On peut par exemple annoncer à quelqu’un « Tiens, il est déjà huit heure » comme un argument pour l’inviter à passer à table, sans pour cela argumenter explicitement. Quant aux locutions « mais pas assez », « mais aussi », elles intensifient l’argument sans le développer pour autant : « Il faut beau, mais pas assez chaud pour… », « Il est plein de bonne volonté mais aussi plein d’idées… ».

Le recours à un argument fort n’est pas toujours efficace pour convaincre …

… car, marquant une différence de point de vue ou même un désaccord, il provoquera probablement chez notre interlocuteur une opposition. Lorsque nous argumentons, nous partons de notre propre point de vue et aboutissons presque toujours à élargir l’abîme qui nous sépare de l’autre.

Dans une nouvelle conception de la rhétorique :

L’art de l’argumentation va consister à utiliser le point de vue de l’autre pour lui démontrer en quoi ce que nous lui disons demeure en harmonie avec sa propre vision des choses. Cela nécessite de sortir de sa « bulle », de se dissocier de sa propre « vision du monde », et d’aller à la rencontre de celle de l’autre pour ainsi mieux la cerner et finalement, mieux l’influencer.

On entre alors dans une démarche qui revient à « communiquer pour faire agir » !

 Publié par Jean-Claude Grunler - Coaching, Entreprise

Partager cet article
Repost0
24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 11:43

shutterstock 72347692

  

  

Découvrez dix conseils pour désigner son second :

  

1- N'attendez pas le pépin de santé, l'ultimatum de la part de votre conjoint ou un échec économique pour songer à vous entourer.

2- Déterminez précisément les tâches que vous souhaitez déléguer et celles que vous voulez impérieusement conserver.

3- Si vous ne pouvez vivre qu'en réglant tous les détails vous-même, un numéro deux ne vous servira à rien.

4- Ne recherchez pas un " clone ", qui sera toujours d'accord avec vous. La collaboration ne vous apporterait aucune stimulation.

5- Faites appel à quelqu'un dont les talents complètent les vôtres. Autant faire entrer des compétences nouvelles dans l'entreprise.

6- Prévenez vos collaborateurs de l'arrivée du petit nouveau le plus tôt possible, mais à condition que le nouvel organigramme soit clairement défini.

7- Demandez à vos équipes d'être patientes avec un numéro deux venu de l'extérieur. Mais ne vous contentez pas de cela. Prenez le temps de remédier au plus tôt à d'éventuelles frictions.

8- Mettez en place des systèmes d'information transparents où chacun pourra aller puiser sans passer nécessairement par le patron.

9- Faites-lui confiance. Ne vérifiez pas tout ce qu'il fait.

10- Ce qu'il vous faut, est-ce bien un numéro deux, ou une réorganisation instituant un fonctionnement plus collaboratif ? Posez-vous au moins une fois la question.

Tout comme le choix d'un premier ministre, choisir son bras droit, c'est un vrai stress pour certains managers. Récompense-t-on un collaborateur pour sa fidélité, cherche-t-on de nouvelles compétences en externe ? Est-on prêt...

Dur dur de choisir son numéro deux !

lentreprise.lexpress.fr

Partager cet article
Repost0
21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 13:18

shutterstock_77717779.jpg

 

 

Le Talent Management Manager est apparu au début des années 2000.

La gestion des talents concerne à la fois la mobilité, l’amélioration des performances individuelles, l’évaluation et la gestion des compétences en interne.

Le Talent Management Manager doit parvenir à mettre la bonne personne à la bonne place afin de donner les moyens à l’entreprise de réussir dans le long terme.

 

Pourquoi aller chercher à l’extérieur des talents qui sont déjà au sein de l’entreprise ? Qu’est-ce que le talent ? Il n’y a pas de définition stricte du talent. Ce peut être les connaissances, les compétences, les relations, la mobilité, les valeurs, la capacité d’adaptation, des aptitudes sociales, un esprit d’initiative ou la motivation.

Le talent n’est pas lié aux postes les plus élevés, il n’est ni acquis ni définitif. Il faut trouver, en interne, la bonne personne pour le bon poste.

 

Pourquoi un Talent Management Manager ?

Le Talent Management regroupe les stratégies et les méthodes d’une entreprise lui permettant de pourvoir durablement les postes clés du succès commercial avec les collaborateurs les plus compétents pour ces postes.

L’objectif à long terme du Talent Management est de retenir et fidéliser les talents dans l’entreprise.

 

Le Talent Management concerne tous les secteurs d’activités mais n’est pas une fin en soi ; il doit servir les intérêts de l’entreprise en intégrant le projet professionnel du salarié.

 

Comment manager les talents ?

Le Talent Management fait partie des rôles des dirigeants, des cadres et des DRH : en ayant de fréquents contacts avec leurs collaborateurs ils peuvent plus facilement connaître leurs prestations et leurs potentiels. Ils doivent veiller à ce que les talents puissent s’épanouir et se développer dans un environnement de travail adéquat et suscitant la motivation. Il faut analyser les capacités de chacun pour lui donner le travail le mieux adapté et qu’il devienne encore meilleur. Il s’agit avant tout de miser sur les points forts au lieu de lutter contre les points faibles.

 

Le Talent Management Manager doit examiner en termes qualitatifs les compétences dont l’entreprise a besoin. Il doit repérer les talents au sein de sa structure et prendre en charge leur suivi individualisé. Il s’agit d’identifier les talents disponibles selon leur potentiel et non selon leur position hiérarchique ou leur salaire.

 

Il faut instaurer un climat de confiance permettant au salarié de s’exprimer professionnellement. Ce sont les valeurs développées par l’entreprise qui sont importantes et qui fondent ou non l’adhésion du talent au projet et à la culture de l’entreprise.

 

 L’entreprise qui sait utiliser les talents naturels de chaque collaborateur dispose de ressources internes permettant de travailler avec des équipes efficaces, souples et durables.

 

 

Frédéric Lesaulnier

Expert en solutions RH Innovantes / Président d'ELITE RH / Fondateur du réseau RH GrandOuest Conseil

Partager cet article
Repost0